La Compagnie des Sens propose une sélection de compléments alimentaires conçus pour les femmes, afin de les soutenir lors de la procréation, pendant la grossesse et durant l’allaitement. Ces produits sont reconnus pour leur excellence, leur composition soignée, leur engagement écologique et leur respect des principes du commerce équitable.

  • Les formulations de ces produits sont méticuleusement élaborées, mettant les plantes au premier plan.
  • Ces compléments alimentaires agissent notamment sur la santé générale, la santé des organes reproducteurs et soutiennent la lactation.
  • Ils doivent être utilisés en complément d'un régime alimentaire adapté et d'un mode de vie sain.
  • Disponibles sous diverses formes, ils sont conçus pour répondre aux attentes de chacun.
  • Nous privilégions les partenaires engagés dans la préservation de l'environnement et le soutien du commerce équitable.
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Il est essentiel d'adopter une alimentation variée et équilibrée, combinée à une activité physique régulière. Pour certains, l'ajout de compléments alimentaires peut être envisagé en soutien. Ces produits doivent être considérés comme un renfort dans le cadre d'un mode de vie sain et ne sauraient remplacer les conseils médicaux ou les traitements prescrits. Les compléments alimentaires spécialement formulés pour la fertilité, la grossesse et l’allaitement peuvent agir de diverses manières afin de soutenir l’organisme féminin durant ces périodes importantes :

  • Certains sont réputés pour prendre en charge la santé des organes reproducteurs et favoriser ainsi la fertilité féminine.
  • D’autres vont prendre en charge la santé de la femme pendant la grossesse et maintenir ces forces.
  • Les compléments alimentaires dédiés à l’allaitement vont permettre de soutenir lactation et de maintenir la santé du sein durant toute la période.

Quelles plantes soutiennent la fertilité féminine ?

Certaines plantes sont réputées pour soutenir la fertilité féminine. Elles sont validées par la DGCCRF et peuvent être utilisées individuellement ou en combinaison, sous différentes formes : 

  • L’Ashwagandha (Withania somnifera)
  • Le Rosier cent-feuilles (Rosa x centifolia)

Quelles plantes utiliser en soutient durant la grossesse ?

Peu de plantes sont réputées pour leur soutien pendant la grossesse. Elles sont approuvées par la DGCCRF et peuvent être utilisées individuellement ou en combinaison, sous diverses formes :

  • La Garance indienne (Rubia cordifolia)
  • L’Ashwagandha (Withania somnifera)

Quelles plantes soutiennent la lactation ?

En phytothérapie, plusieurs plantes sont reconnues pour favoriser la lactation, que ce soit individuellement ou en combinaison, et sous différentes formes telles que des infusions, des gélules, des comprimés, des huiles essentielles ou des macérats de bourgeons. Voici quelques exemples de plantes validées par la DGCCRF pour aider la lactation :

  • L’Aneth (Anethum graveolens)
  • L’Origan (Origanum vulgare)
  • Le Galéga (Galega officinalis)
  • L’Asperge à grappes (Asparagus racemosus)
  • L’Orme rouge (Ulmus fulva)
  • La Verveine officinale (Verbena officinalis)
  • Le Carvi (Carum carvi)

Quel régime alimentaire pour optimiser la fertilité ?

L’hygiène de vie et notamment l’alimentation semblent étroitement liées à la fertilité. Ainsi il est conseillé de suivre un régime alimentaire :

  • Principalement composée d’aliments peu transformés.
  • Faible en sucres ajoutés, en graisses saturées et en graisses trans.
  • Riche en folates, vitamines B6 et B12, ainsi qu’en oméga-3.
  • Abondante en nutriments, fibres alimentaires et antioxydants.
  • Non restrictive et facile à suivre.

Quels nutriments privilégier pendant la grossesse ?

  • L’acide folique (vitamine B9), également appelé folates, est essentiel à la croissance de votre bébé. Durant les premières semaines de grossesse, il joue un rôle crucial dans le développement du système nerveux de l’embryon, notamment en assurant la fermeture du tube neural (dont l'absence de fermeture peut entraîner un spina bifida). Les folates nécessaires peuvent être fournis par l'alimentation quotidienne, présente dans la levure, le foie, les fruits et légumes frais, en conserve ou surgelés (comme les épinards, le cresson, la mâche, le melon, les noix, les amandes, les pois chiches, les châtaignes et le pissenlit), mais ces apports sont généralement insuffisants.
  • Le calcium est crucial pour la construction du squelette du bébé, surtout au cours du troisième trimestre. Si vos apports en calcium est insuffisant, votre bébé puisera dans vos réserves. Les produits laitiers (à l'exception de ceux au lait cru) sont la meilleure source de calcium. Consommez trois produits laitiers par jour : lait, yaourt, fromage blanc, fromage... Si vous n'aimez pas les produits laitiers, pensez aux eaux minérales riches en calcium.
  • La vitamine D facilite l'absorption du calcium. Elle est principalement produite par l'organisme grâce à l'exposition de la peau au soleil. Vous pouvez également en trouver dans les poissons gras (saumon, maquereaux, sardines) ou dans les produits laitiers enrichis en vitamine D.
  • Les besoins en fer augmentent chez la femme enceinte. Le fer est indispensable, surtout en fin de grossesse, pour éviter le risque de carence et d'anémie. Vous pouvez en trouver dans les légumes secs, le poisson et la viande.

Quels nutriments privilégier pendant l’allaitement ?

Pour favoriser le développement optimal de l'enfant et protéger la santé de la mère qui allaite, il est essentiel de maintenir une hydratation adéquate et de privilégier une alimentation riche en nutriments vitaux, notamment :

  • Oméga-3 : ces acides gras sont importants pour réduire le risque de maladies chez le bébé et soutenir son développement cérébral.
  • Calcium : le lait maternel contient environ 30 mg de calcium pour chaque 100 mL, fournissant au bébé entre 150 et 270 mg de calcium par jour. Il est donc crucial que la mère augmente son apport en calcium pour préserver sa propre densité osseuse.
  • Vitamine A : essentielle pour les réserves de la mère et les besoins du nourrisson, cette vitamine est présente dans le lait maternel. Les légumes et les fruits riches en bêta-carotène, un précurseur de la vitamine A, sont de bonnes sources.
  • Vitamine B9 (Folate) : cruciale pour le développement et la régénération cellulaire, cette vitamine est particulièrement importante pendant la grossesse et l'allaitement. Les légumineuses (lentilles, pois chiches), les légumes à feuilles vertes (épinards, brocolis, choux de Bruxelles, salade) et le foie sont d'excellentes sources de vitamine B9.
  • Vitamine D : elle améliore l'absorption et la rétention du calcium. Une exposition modérée au soleil et la consommation d'aliments riches en vitamine D aident à répondre aux besoins quotidiens.

Bien qu'il n'y ait pas de preuves concrètes qu'une alimentation spécifique puisse augmenter la lactation, adopter une alimentation équilibrée et riche en nutriments reste primordial pendant la période d'allaitement.

Quels nutriments éviter lors de l’allaitement ?

Pendant la période d'allaitement, il est important de limiter la consommation de certains aliments et substances pour prévenir le transfert de composés potentiellement nocifs pour le nourrisson, tels que :

  • Caféine, théophylline et théobromine : présentes dans le café, le thé et le chocolat, ces substances peuvent perturber le sommeil et le développement des nourrissons, en particulier chez les prématurés, en raison de leur passage dans le lait maternel.
  • Acides gras trans : leur consommation peut réduire la qualité des lipides dans le lait maternel, essentiels au développement du bébé, et augmenter le risque de développer de l'eczéma.
  • Phytoestrogènes : trouvés dans les produits à base de plantes, ils peuvent interférer avec l'absorption de l'iode, crucial pour le fonctionnement de la thyroïde, ce qui peut altérer les niveaux d'iode dans le lait maternel et entraîner des troubles thyroïdiens chez l'enfant.
  • Phytostérols : bien qu'ils soient naturellement présents dans les aliments végétaux, ils peuvent limiter l'absorption de nutriments essentiels comme le bêta-carotène, important pour le développement du nourrisson.
  • Mercure : provenant de sources environnementales, le mercure peut avoir un impact négatif sur le développement cérébral et neurologique de l'enfant.

Pourquoi boire une tisane d’allaitement ?

Le lait maternel, composé à plus de 80 % d'eau, contient également des glucides, des lipides, des protéines et des micronutriments, soulignant ainsi l'importance de l'hydratation chez la mère allaitante. Il est conseillé de privilégier la consommation d'eau et de tisanes, car elles favorisent une hydratation adéquate sans poser de problèmes liés à l'allaitement, tout en soutenant une production lactée suffisante et de bonne qualité. Il est recommandé de boire entre 2,5 et 3 litres d'eau par jour. Les tisanes, en alternative aux boissons sucrées ou caféinées, sont un choix sain pour s'hydrater, offrant en plus un moment de détente et de bien-être, contribuant ainsi positivement à la lactation.

Quelle est la période de fertilité pour une femme ?

Afin de déterminer sa période de fertilité, il est important de connaître son jour d’ovulation. Une fois libéré, l’ovule n’a qu’une durée de vie de 24 heures. C’est ce moment que l’on appelle la période d’ovulation. Toutefois, la période de fertilité n’est pas aussi restreinte. Sachant que les spermatozoïdes peuvent vivre en moyenne 4 jours dans les organes génitaux de la femme, un rapport sexuel ayant lieu 48 à 72 heures avant l’ovulation peut conduire à une fécondation. Ainsi, la période de fertilité s'étend sur environ 4 jours : 3 jours avant l’ovulation, si les spermatozoïdes sont déjà présents dans l’appareil génital féminin, et 1 jour après l’ovulation, correspondant à la durée de vie de l’ovule.

Ensuite, pour savoir à quel moment du cycle menstruel à lieu cette période de fertilité il existe plusieurs cas de figure. En effet, aucune femme n’étant identique, la durée du cycle menstruel peut varier.

  • Pour un cycle menstruel d’une durée inférieur ou égale à 28 jours il suffit de se placer au premier jour des menstruations et de soustraire 14 jours.
  • Pour un cycle menstruel de plus de 28 jours il faut vous référer à votre dernier jour de menstruation et soustraire 14 jours.

Il faut cependant noter que cette méthode de calcul peut s’avérer imprécise. Il suffit d’un cycle irrégulier, d’une période d’aménorrhée ou d’un dérangement quelconque pour que la durée de vos règles varie d'un mois à l'autre. C’est pourquoi un test d’ovulation peut s’avérer utile en complément de cette méthode de calcul.

Pourquoi manque-t-on de fer durant la grossesse ?

Pendant la grossesse, le bébé utilise le sang de sa mère pour obtenir les nutriments nécessaires à son développement et pour oxygéner ses organes. Ainsi, l'organisme de la femme enceinte doit produire davantage d'hémoglobine pour répondre à ses propres besoins ainsi qu'à ceux du bébé à naître. Ces besoins en fer sont donc plus importants.

Comment est sécrété le lait maternel ?

Dès la 16ème semaine de grossesse, le corps commence à se préparer pour la production de lait. Il sécrète d'abord un liquide épais et jaunâtre appelé colostrum, qui sera le premier aliment du nouveau-né. Le colostrum est extrêmement riche en protéines, minéraux et anticorps, essentiels pour nourrir le bébé et renforcer son système immunitaire. La sécrétion de colostrum est régulée par l'hormone prolactine et joue un rôle crucial dans la protection immunitaire du nourrisson. Après l'accouchement et l'expulsion du placenta, les niveaux de certaines hormones qui bloquaient la production de lait, comme la progestérone et l'hormone lactogène placentaire, diminuent. La prolactine, aidée par l'ocytocine, prend alors le relais pour stimuler la lactation. Entre 3 et 5 jours après la naissance, le colostrum est progressivement remplacé par un lait de transition, puis, environ deux semaines plus tard, par le lait mature.

La sécrétion de prolactine et d'ocytocine, nécessaire à la production de lait, est déclenchée par la stimulation des récepteurs spécifiques situés dans l'aréole du sein. La prolactine favorise la production de lait dans les alvéoles mammaires, tandis que l'ocytocine provoque la contraction des cellules myoépithéliales entourant ces alvéoles et les canaux lactifères, facilitant ainsi l'éjection du lait. Les nutriments et l'eau nécessaires à la production de lait sont acheminés par le système sanguin jusqu'aux seins. Sous l'influence de la prolactine, des cellules spécifiques produisent en continu du lait, qui est stocké dans de petites structures appelées alvéoles, regroupées en grappes.

Pourquoi ai-je mal au ventre pendant l'allaitement ?

La succion du bébé au sein stimule la glande hypophysaire, entraînant la libération d'ocytocine. Cette hormone provoque la contraction des alvéoles productrices de lait, facilitant ainsi son expulsion. L'ocytocine joue également un rôle clé dans l'utérus en aidant à ses contractions pendant l'accouchement. Après la naissance, elle contribue à la rétraction utérine, permettant à l'utérus de retrouver plus rapidement sa position normale dans le pelvis. Les douleurs abdominales ressenties pendant l'allaitement sont dues à ces contractions utérines, déclenchées par l'ocytocine libérée durant l'allaitement. Ces contractions ne durent que quelques jours après la naissance.