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La Compagnie des Sens propose une sélection de compléments alimentaires conçus pour les femmes, afin de les soutenir lors de la procréation, pendant la grossesse et durant l’allaitement. Ces produits sont reconnus pour leur excellence, leur composition soignée, leur engagement écologique et leur respect des principes du commerce équitable.
Il est essentiel d'adopter une alimentation variée et équilibrée, combinée à une activité physique régulière. Pour certains, l'ajout de compléments alimentaires peut être envisagé en soutien. Ces produits doivent être considérés comme un renfort dans le cadre d'un mode de vie sain et ne sauraient remplacer les conseils médicaux ou les traitements prescrits. Les compléments alimentaires spécialement formulés pour la fertilité, la grossesse et l’allaitement peuvent agir de diverses manières afin de soutenir l’organisme féminin durant ces périodes importantes :
Certaines plantes sont réputées pour soutenir la fertilité féminine. Elles sont validées par la DGCCRF et peuvent être utilisées individuellement ou en combinaison, sous différentes formes :
Peu de plantes sont réputées pour leur soutien pendant la grossesse. Elles sont approuvées par la DGCCRF et peuvent être utilisées individuellement ou en combinaison, sous diverses formes :
En phytothérapie, plusieurs plantes sont reconnues pour favoriser la lactation, que ce soit individuellement ou en combinaison, et sous différentes formes telles que des infusions, des gélules, des comprimés, des huiles essentielles ou des macérats de bourgeons. Voici quelques exemples de plantes validées par la DGCCRF pour aider la lactation :
L’hygiène de vie et notamment l’alimentation semblent étroitement liées à la fertilité. Ainsi il est conseillé de suivre un régime alimentaire :
Pour favoriser le développement optimal de l'enfant et protéger la santé de la mère qui allaite, il est essentiel de maintenir une hydratation adéquate et de privilégier une alimentation riche en nutriments vitaux, notamment :
Bien qu'il n'y ait pas de preuves concrètes qu'une alimentation spécifique puisse augmenter la lactation, adopter une alimentation équilibrée et riche en nutriments reste primordial pendant la période d'allaitement.
Pendant la période d'allaitement, il est important de limiter la consommation de certains aliments et substances pour prévenir le transfert de composés potentiellement nocifs pour le nourrisson, tels que :
Le lait maternel, composé à plus de 80 % d'eau, contient également des glucides, des lipides, des protéines et des micronutriments, soulignant ainsi l'importance de l'hydratation chez la mère allaitante. Il est conseillé de privilégier la consommation d'eau et de tisanes, car elles favorisent une hydratation adéquate sans poser de problèmes liés à l'allaitement, tout en soutenant une production lactée suffisante et de bonne qualité. Il est recommandé de boire entre 2,5 et 3 litres d'eau par jour. Les tisanes, en alternative aux boissons sucrées ou caféinées, sont un choix sain pour s'hydrater, offrant en plus un moment de détente et de bien-être, contribuant ainsi positivement à la lactation.
Afin de déterminer sa période de fertilité, il est important de connaître son jour d’ovulation. Une fois libéré, l’ovule n’a qu’une durée de vie de 24 heures. C’est ce moment que l’on appelle la période d’ovulation. Toutefois, la période de fertilité n’est pas aussi restreinte. Sachant que les spermatozoïdes peuvent vivre en moyenne 4 jours dans les organes génitaux de la femme, un rapport sexuel ayant lieu 48 à 72 heures avant l’ovulation peut conduire à une fécondation. Ainsi, la période de fertilité s'étend sur environ 4 jours : 3 jours avant l’ovulation, si les spermatozoïdes sont déjà présents dans l’appareil génital féminin, et 1 jour après l’ovulation, correspondant à la durée de vie de l’ovule.
Ensuite, pour savoir à quel moment du cycle menstruel à lieu cette période de fertilité il existe plusieurs cas de figure. En effet, aucune femme n’étant identique, la durée du cycle menstruel peut varier.
Il faut cependant noter que cette méthode de calcul peut s’avérer imprécise. Il suffit d’un cycle irrégulier, d’une période d’aménorrhée ou d’un dérangement quelconque pour que la durée de vos règles varie d'un mois à l'autre. C’est pourquoi un test d’ovulation peut s’avérer utile en complément de cette méthode de calcul.
Pendant la grossesse, le bébé utilise le sang de sa mère pour obtenir les nutriments nécessaires à son développement et pour oxygéner ses organes. Ainsi, l'organisme de la femme enceinte doit produire davantage d'hémoglobine pour répondre à ses propres besoins ainsi qu'à ceux du bébé à naître. Ces besoins en fer sont donc plus importants.
Dès la 16ème semaine de grossesse, le corps commence à se préparer pour la production de lait. Il sécrète d'abord un liquide épais et jaunâtre appelé colostrum, qui sera le premier aliment du nouveau-né. Le colostrum est extrêmement riche en protéines, minéraux et anticorps, essentiels pour nourrir le bébé et renforcer son système immunitaire. La sécrétion de colostrum est régulée par l'hormone prolactine et joue un rôle crucial dans la protection immunitaire du nourrisson. Après l'accouchement et l'expulsion du placenta, les niveaux de certaines hormones qui bloquaient la production de lait, comme la progestérone et l'hormone lactogène placentaire, diminuent. La prolactine, aidée par l'ocytocine, prend alors le relais pour stimuler la lactation. Entre 3 et 5 jours après la naissance, le colostrum est progressivement remplacé par un lait de transition, puis, environ deux semaines plus tard, par le lait mature.
La sécrétion de prolactine et d'ocytocine, nécessaire à la production de lait, est déclenchée par la stimulation des récepteurs spécifiques situés dans l'aréole du sein. La prolactine favorise la production de lait dans les alvéoles mammaires, tandis que l'ocytocine provoque la contraction des cellules myoépithéliales entourant ces alvéoles et les canaux lactifères, facilitant ainsi l'éjection du lait. Les nutriments et l'eau nécessaires à la production de lait sont acheminés par le système sanguin jusqu'aux seins. Sous l'influence de la prolactine, des cellules spécifiques produisent en continu du lait, qui est stocké dans de petites structures appelées alvéoles, regroupées en grappes.
La succion du bébé au sein stimule la glande hypophysaire, entraînant la libération d'ocytocine. Cette hormone provoque la contraction des alvéoles productrices de lait, facilitant ainsi son expulsion. L'ocytocine joue également un rôle clé dans l'utérus en aidant à ses contractions pendant l'accouchement. Après la naissance, elle contribue à la rétraction utérine, permettant à l'utérus de retrouver plus rapidement sa position normale dans le pelvis. Les douleurs abdominales ressenties pendant l'allaitement sont dues à ces contractions utérines, déclenchées par l'ocytocine libérée durant l'allaitement. Ces contractions ne durent que quelques jours après la naissance.